C'est la rentrée, j'ai envie de ranger !
Dans Les Tiroirs ?
Que nenni !
Le fond de mon sac.
J'aime les sacs, grands, surtout à bandoulière, plus pratiques à porter sur le scooter quand il n'y a plus de place dans le top case.
Donc à bandoulière et grand, du coup à l'intérieur un peu de tout .
Normal , un sac de fille.
J'ai donc commencé par une pochette selon une idée repérèe ici au printemps.
J'avais envie de voir ce qu'il y a dedans d'où la transparence.
J'avais aussi envie de gaieté, c'est plus sympa au fond du sac.
Si cela vous tente, j'ai fait comme cela :
Prendre du plastique d'une épaisseur supérieure à celui pour couvrir les livres.
Pour une longueur de fermeture éclair de 20 cm (crémaillère seule)
Transparent : longueur 40 cm , largeur 22 cm
Commencer par coudre la crémaillère, régler un point un peu large.
Ensuite, mettre à plat, choisir la hauteur d'ouverture de la pochette.
Épingler le biais de chaque côté et le piquer.
Voilà c'est fini.
Reste à y glisser tous vos indispensables.
dimanche 30 septembre 2012
jeudi 27 septembre 2012
Alors là ... c'est pompon !
C'est mon premier snood. Il est en lin, pour la demi-saison.
Je suis souvent en scooter, aussi, méfiance, j'aime garder le cou au chaud.
Il est en lin gris, avec de jolis pompons souvenirs de mes vacances à New York.
Ces pompons m'ont été offerts, par une personne qui m'est très chère .
Fallait que j'en fasse quelque chose de bien.
Résultat : je l'adore !
Il très sympa, pratique et il donne envie de sourire, on ne peut pas faire la gueule avec lui autour du cou : no way.
C'est plutôt : "Wouahou, pom pom pidou "
Explication :
J'ai suivi le modèle de Purl Soho. leur tuto est très bien expliqué ici.
Pour ceux (y a t il des garçons dans la salle ?) et celles qui ne parlent le "inch" couramment,
je vous aide un peu :
Le mien est en lin de 150 cm de large.
Une longueur de 45 cm suffira.
Faire un rentré de 2 cm, 2 fois (vous pliez une fois sur l'envers, et encore une fois)
Épingler la galon tout le long du bord extérieur en laissant dépasser les pompons,
Replier l'ourlet afin de cacher le galon et piquer.
Voilà pour un coté, faire pareil sur l'autre côté.
Ensuite fermer le snood en enfermant la lisière dans l'ourlet .
mardi 25 septembre 2012
Silence ... On lit !
Il y a quelques temps, j'ai été invitée à une séance de lecture en présence de l'auteur.
C'était une première pour moi, je ne savais pas à quoi m'attendre, et j'ignorais le livre qui serait présenté. Cependant, je faisais complètement confiance à la personne qui m'avait invitée et ma curiosité naturelle m'a poussée à accepter.
Nous étions une dizaine, en majorité des femmes et un homme, l'auteur et les deux lectrices.
Ces dernières, actrices amateurs, proposaient de prendre chacune un personnage de cette histoire de couple, l'homme, la femme, et de lire certains passages, de leur propre choix.
Le livre : "L'angle mort" de Véronique Merlier - édition Arléa
Tout le monde se parlait gentiment jusqu'à ce qu'un silence respectueux s'installe et la voix des lectrices prenne la place. Toute la place, j'avais l'impression que chaque mot se gonflait comme une montgolfière pour remplir le volume de la pièce.
Le rythme était lent, chaque phrase prenait son souffle, et le temps a passé vite, autour d'une heure pour arriver à la fin du bouquin.
Déjà la fin.
On aurait aimé que la lecture continue, on est sonnées du silence qui s'installe après cette valse des mots.
L'auteur, est troublée, elle dit se rappeler chaque mot, c'est son livre, elle le connaît par coeur, et pourtant elle avoue qu'avec ce découpage des lectrices, elle a parfois l'impression d'un autre livre.
Ensuite elle s'est confié et a raconté pourquoi elle a écrit ce livre, c'est son premier, comment elle l'a écrit, ses doutes, son soucis de perfection pour chaque phrase.
Son envie de laisser tomber, et de s'y remettre, rentrer à la maison, s'asseoir à la table , écrire, chaque jour. Laborieux.
La quête d'un éditeur et se retrouver les bras vides à la poste après l'envoi des manuscrits.
L'attente.
Le refus de l'un, l'autre, une lettre bien polie, une autre. et puis, le refus d'un éditeur, mais un conseil, le nom d'un nouvel éditeur, un autre envoi, un ok.
J'ai pris le livre, je l'ai ramené chez moi, pour encore entendre ses mots... j'avais oublié que la lecture isolée est silencieuse, et les mots si lisses sans voix.
Depuis, j'ai fait circuler le livre, j'aime partager mes coups de coeur, je ne peux vous offrir de photo.
Mais l'aventure est restée bien présente.
Il parait qu'aujourd'hui, il n'est plus une fête ou salon de livre sans sa "performance", les lectures à voix haute sont à la mode. Il y a même un marathon des mots et aussi le festival "Les correspondances de Manosque", il commence demain (du 26 au 30 septembre).
Alors, à Manosque ou ailleurs, si un jour vous avez l'occasion, n'hésitez pas, c'est un pur bonheur !
C'était une première pour moi, je ne savais pas à quoi m'attendre, et j'ignorais le livre qui serait présenté. Cependant, je faisais complètement confiance à la personne qui m'avait invitée et ma curiosité naturelle m'a poussée à accepter.
Nous étions une dizaine, en majorité des femmes et un homme, l'auteur et les deux lectrices.
Ces dernières, actrices amateurs, proposaient de prendre chacune un personnage de cette histoire de couple, l'homme, la femme, et de lire certains passages, de leur propre choix.
Le livre : "L'angle mort" de Véronique Merlier - édition Arléa
Le rythme était lent, chaque phrase prenait son souffle, et le temps a passé vite, autour d'une heure pour arriver à la fin du bouquin.
Déjà la fin.
On aurait aimé que la lecture continue, on est sonnées du silence qui s'installe après cette valse des mots.
L'auteur, est troublée, elle dit se rappeler chaque mot, c'est son livre, elle le connaît par coeur, et pourtant elle avoue qu'avec ce découpage des lectrices, elle a parfois l'impression d'un autre livre.
Ensuite elle s'est confié et a raconté pourquoi elle a écrit ce livre, c'est son premier, comment elle l'a écrit, ses doutes, son soucis de perfection pour chaque phrase.
Son envie de laisser tomber, et de s'y remettre, rentrer à la maison, s'asseoir à la table , écrire, chaque jour. Laborieux.
La quête d'un éditeur et se retrouver les bras vides à la poste après l'envoi des manuscrits.
L'attente.
Le refus de l'un, l'autre, une lettre bien polie, une autre. et puis, le refus d'un éditeur, mais un conseil, le nom d'un nouvel éditeur, un autre envoi, un ok.
Depuis, j'ai fait circuler le livre, j'aime partager mes coups de coeur, je ne peux vous offrir de photo.
Mais l'aventure est restée bien présente.
Il parait qu'aujourd'hui, il n'est plus une fête ou salon de livre sans sa "performance", les lectures à voix haute sont à la mode. Il y a même un marathon des mots et aussi le festival "Les correspondances de Manosque", il commence demain (du 26 au 30 septembre).
Alors, à Manosque ou ailleurs, si un jour vous avez l'occasion, n'hésitez pas, c'est un pur bonheur !
lundi 24 septembre 2012
Dentelle et petits points
Au mois de septembre, vous l'avez peut-être remarqué, il y a encore des vide-greniers.
Je ne cherche pas trop à les faire, j'en ai déjà plein Les Tiroirs, comme dirait l'autre...
enfin, l'autre, on le connaît pas .... et, ça n'engage que lui d'abord.
Donc, je m'accorde le droit d'aller un peu chiner, et bien sûr, je trouve des choses.
Il y donc 15 jours, un haut en dentelle blanche, avec des gros boutons en plastique.
Je l'ai trouvé bien fade, mais en même temps une drôle d'impulsion m'a poussée à sa rencontre.
Le voici donc, chez moi. Et moi, à me poser des questions.
Première idée, ces boutons : out !
Et puis, en cherchant un peu Dans mes Tiroirs, quelques tests jusqu'à un essai de matière qui me tente.
Et c'est lancé, quelques points de couture plus loin, cela donne ça
Je ne cherche pas trop à les faire, j'en ai déjà plein Les Tiroirs, comme dirait l'autre...
Donc, je m'accorde le droit d'aller un peu chiner, et bien sûr, je trouve des choses.
Il y donc 15 jours, un haut en dentelle blanche, avec des gros boutons en plastique.
Je l'ai trouvé bien fade, mais en même temps une drôle d'impulsion m'a poussée à sa rencontre.
Le voici donc, chez moi. Et moi, à me poser des questions.
Première idée, ces boutons : out !
Et puis, en cherchant un peu Dans mes Tiroirs, quelques tests jusqu'à un essai de matière qui me tente.
Et c'est lancé, quelques points de couture plus loin, cela donne ça
Charmant, non ?
Bon, alors le week-end prochain, elles sont où les brocantes ?
jeudi 20 septembre 2012
3 p'tits bavoirs
Aujourd'hui, nous parlerons bavoirs !
Il y a des années comme cela, où il y a plein de bébés qui naissent autour de nous.
Pour moi c'est le cas en 2012, dans la famille, les amis, des filles, des garçons, tout plein de bébés comme on aime!
Il m'est donc venu cette idée, faire des petits bavoirs naissance.
Cette série est pour fille, mais avec les merveilleux biais liberty qu'on peut trouer (chez Motif personnel par ex) je vais bien m'amuser pour nos p'tits gars aussi !
3 p'tits bavoirs
Voici le tuto :
Il faut :
• tissu éponge 20 x 20 cm par bavoir
• 1,20 m de liberty
1/ Couper du tissu éponge selon ce schéma
3/ Puis sur le pourtour en laissant 20 cm pour nouer dans le cou
Et voilà
4 / Reste plus qu'à offrir avec une jolie étiquette !
mardi 18 septembre 2012
Collier bouchons sans modération
Faut dire qu'on y prend vite goût, amusant à faire, agréable à porter, que du bonheur.
Alors le voici, je vous le présente, il est né d'une drôle de façon, je mets de côté les bouchons de bouteilles plastiques afin de les recycler, et à force de les voir s'accumuler ... je me suis demandé ce que je pourrai bien en faire .
Une idée qui traîne dans la tête et mûrit quelques jours et voici ce que cela donne.
Pas mal, non ? moi j'aime !
Si cela vous tente, voici la marche à suivre :
1/ Choisir la ou les tailles des bouchons,
trouver quelque chose pour découper des ronds.
Ici c'est une soucoupe de tasse "what else"
2/ Découper des cercles un peu plus grand que le diamètre du bouchons + son épaisseur
3/ Passer un fils sur le bord du tissu, afin de froncer autour du bouchon et l'emprisonner à l'intérieur
4/ Rembourrer et refermer
ajouter une pièce de propreté si besoin
les coudre les uns aux autres.
Moi, je l'ai fait avec une aiguille courbe, c'est plus simple.
Ici, 3 tailles : un gros au centre, 4 moyens + un petit au dessus.
6/ Reste à fixer un cordon pour faire le tour du cou.
à faire selon modèle décrit ici pour le collier 3 rangs
Et voilà ... à porter sans modération !
lundi 17 septembre 2012
Expo Balenciaga & autres plaisirs
Balenciaga était collectionneur, de dentelles, de costumes folkloriques, gravures, de tout ce qui touchait à la couture. Un gars qui en avait Dans Les Tiroirs, pour ainsi dire .
Cette exposition mets en scène ses trésors, si vous y allez pour voir beaucoup de ses créations, de fortes chances d'être frustré. Mais si vous aimez regarder les choses de prêt, allez y sans hésiter.
(Ça ne vous rappelle pas certaines jupes de cet été ?)
Ça ne rends pas grand chose en photo, mais je vous le montre car c'était notre chou-chou un vrai coup de coeur : un boléro court devant, deux longs pans noués dans le dos. On voudrait le même !
Un manteau long pour le soir. Il me fait penser aux longs manteaux roses de la collection Jil Sander .
Un col en dentelle blanche avec des essais de broderies minutieuses qui me fascinent.
Une deuxième expo est consacrée à Comme des Garçons, du blanc, que du blanc, sous des bulles, travail en volume, du matelassé et crochet aussi.
C'est jusqu'au 7 octobre, aux docks en scène, sur les quais devant la gare d'Austerlitz, le drôle de bâtiment avec ce toit si vert, un peu moche vu de la rive droite, faut le dire, .
Mais allez sur le toit, vous changerez d'avis, terrasse en bois, toit végétalisé, belle vue sur la seine.
Et, si vous avez le temps, n'hésitez pas à manger une grillade dans le resto éphémère sur les quais : "La Vagalame", qualité et convivialité vous y attendent. Ils ferment à la fin du mois, faudra attendre le printemps pour y revenir.
Si ils continuent sur cette lancée, moi j'y reviendrai, pour la viande et aussi le riz au lait ( à tomber) !
J'ai oublié de vous dire que Balenciaga se prénomme Cristobal, qu'il est basque espagnol
(de l'autre côté, comme on dit au Pays) .
Si vous passez dans le coin, un musée lui est consacré dans le chateau de sa ville natale, c'est à Gétaria, quelques km de San Sébastian et à 250 km d'un .... autre excellent riz au lait, à déguster en famille cette fois.
Pour le musée c'est clic ici
Pour le riz au lait de Loulou c'est clap, hip hip hip ....hourra !
Cette exposition mets en scène ses trésors, si vous y allez pour voir beaucoup de ses créations, de fortes chances d'être frustré. Mais si vous aimez regarder les choses de prêt, allez y sans hésiter.
Magie de la guipure noire
Courbes du chapeau de mariée, ou de la robe plus courte devant.(Ça ne vous rappelle pas certaines jupes de cet été ?)
Ça ne rends pas grand chose en photo, mais je vous le montre car c'était notre chou-chou un vrai coup de coeur : un boléro court devant, deux longs pans noués dans le dos. On voudrait le même !
Un manteau long pour le soir. Il me fait penser aux longs manteaux roses de la collection Jil Sander .
Un col en dentelle blanche avec des essais de broderies minutieuses qui me fascinent.
Une deuxième expo est consacrée à Comme des Garçons, du blanc, que du blanc, sous des bulles, travail en volume, du matelassé et crochet aussi.
C'est jusqu'au 7 octobre, aux docks en scène, sur les quais devant la gare d'Austerlitz, le drôle de bâtiment avec ce toit si vert, un peu moche vu de la rive droite, faut le dire, .
Mais allez sur le toit, vous changerez d'avis, terrasse en bois, toit végétalisé, belle vue sur la seine.
Et, si vous avez le temps, n'hésitez pas à manger une grillade dans le resto éphémère sur les quais : "La Vagalame", qualité et convivialité vous y attendent. Ils ferment à la fin du mois, faudra attendre le printemps pour y revenir.
Si ils continuent sur cette lancée, moi j'y reviendrai, pour la viande et aussi le riz au lait ( à tomber) !
J'ai oublié de vous dire que Balenciaga se prénomme Cristobal, qu'il est basque espagnol
(de l'autre côté, comme on dit au Pays) .
Si vous passez dans le coin, un musée lui est consacré dans le chateau de sa ville natale, c'est à Gétaria, quelques km de San Sébastian et à 250 km d'un .... autre excellent riz au lait, à déguster en famille cette fois.
Pour le musée c'est clic ici
Pour le riz au lait de Loulou c'est clap, hip hip hip ....hourra !
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