vendredi 10 février 2017

Promenade dans le Chettinad

Après une douce nuit dans notre hôtel de charme, notre chauffeur vient nous chercher à 10h pour faire 3 visites : une tuilerie, le palais Lechti et un temple dans un petit village des environs.

La tuilerie : en fait, c'est une fabrique artisanale de carreaux en ciment. Je vous décrits le processus tel que je l'ai compris. L'artisan dispose devant lui d'un carreau en verre sur lequel il dispose un cadre de métal de presque la même taille. Ensuite, avec une louche, il dispose une sorte de crème qui peut être rouge, bleue, verte ou blanche soit en ligne soit en points. Étonnante dextérité que de faire une ligne ou des points réguliers en faisant couler un liquide épais avec une louche ! Puis, avec un petit bout de bois, il semble griffonner ce qu'il vient de faire. Pour terminer, il couvre le tout d'un mortier, il retourne l'ensemble et sous le verre apparaît le motif du carreau. Il enlève ensuite le carreau de verre et le cadre et un magnifique carreau de ciment décoré est né. J'ai toujours pas compris comment tout ça tenait mais ça tient et le résultat est magnifique.
 
Trois hommes assis simplement par terre

Des petits points de couleur, à la louche 

Un peu de gribouillage, et la magie opère 

Autre technique avec un moule ... ce qui donne tout un choix...
Damned ,trop lourd pour ramener dans la valise !



Visite du palais Lechti
Avant toute chose, il faut que je vous raconte l'histoire des chettiars. C'est une communauté de marchands, célèbres pour leur sens innés des affaires et leur talent particulier pour la finance et le commerce. Jusqu'au 12 ème siècle sous l'Empire Chola, ils étaient installés sur la côte Est des Indes où ils étaient armateurs, négociants en pierres précieuses, marchands de sel... Cela aurait pu durer longtemps si un roi local n'avait pas eu la mauvaise idée d'enlever une jeune fille chettiar pour en faire sa femme. Ça a  énervé les chettiars, qui en plus ont subi un tsunami. Ils ont perdu leur famille. Sur l'invitation du royaume de Pandya, qui voyait là une source de revenu, les chettiars ont émigré dans les terres au nord de Madurai au 13ème siècle. Surprenant, car la région est semi désertique. Point n'en faut  pour ces entrepreneurs qui se lancèrent dans le commerce du riz du riche delta de la rivière kaleri, le commerce du sel et toujours celui des pierres précieuses avec les pays du sud-est asiatique. Ils redevinrent très riches. 
Il créèrent pas moins de 95 villages avec de superbe constructions, des petits palais. Les guerres du 20 ème siècle leur fit perdre de leur influence et le nombre de leur village tombèrent à 75. 
Mais grâce à une solide éducation, ils rejoignirent les grandes villes et nombre d'entre eux tiennent aujourd'hui de hauts postes dans l'industrie et le monde des affaires du sud de l'Inde. 
Ils ont gardé leur petit palais et y reviennent pour toutes les fêtes familiales.




Nous avons donc visiter le palais Letchi et les photos valent mieux que de long discours. C'est grandiose et démontre l'opulence de ce peuple.

Nous avons continué sur les petites routes vers le temple Solail Andawan Koil dans le village de Kothadi. C'est un petit temple ayyanar, ces divinités très locales du Tamil Nadu probablement issues de traditions animistes locales qui auraient ainsi résisté à l'hindouisme. On peut voir une belle allée de chevaux en terre cuite.

 Temple Solail Andawan Koil


L'après midi, après une petite sieste, on a voulu aller à la piscine de l'hôtel qui  est à 5 minutes à pied. La couleur de l'eau et les moustiques nous ont fait rebrousser chemin. Nous en avons profité pour marcher dans les rues du village et admirer toutes ces belles demeures dont certaines mériteraient un ravalement.



mercredi 8 février 2017

De Tanjore à Chettinad, une route à surprises

Je quitterai Tanjore sans regret . Hier soir j’ai voulu faire un tour dans les rues, mais vu le tohu bouhu, j’ai trouvé cela carrément dangereux de s’y promener à pied, entre le bazar de vélos, motos, autos, bus le tout klaxonant et zéro trottoir … tu ne sais pas où te mettre .
Amusant par contre,  je vois pour la première fois deux grands magasins, 4 étages, climatisation, une fourmilière de personnel . Indian speaking only. Personne ne parle anglais à part "what’s your name ?"… cela donne des situations cocasses . Je suis à la recherche de pantalons traditionnels. Donc je vais à l’étage femme et ne trouve que de grand sarouals, ou des leggings …  j’ai pas vérifié mais je soupçonne du made in China … Notre pauvre Gandhi qui a tant lutté pour le vêtement traditionnel et non les vêtements étrangers, anglais de l’époque … Ne serait pas bien fier de voir tous les produits chinois qui ont envahi le marché… Mais c’est une autre histoire.
Ne reculant devant aucune idée, je file à l’étage homme. Là, on me conseille de suite pour m’amener devant le stand des pantalons comme chez nous, impossible de se comprendre quand enfin "yes, cotton" est le mot magique … on m’amène à un nouveau stand, on me confie à 3 vendeurs de … chemises …
Le tout avec sourire, gentillesse et bonne volonté .

Donc la rue, bof, les magasins bof bof, et pas d’eau chaude dans la douche .
No regret Tanjore.

Notre chauffeur nous a donné rendez-vous à 9h, c’est lui qui décide de notre sommeil, c’est lui le boss.  Avec lui aussi on a des problèmes de compréhension parfois, mais on l’aime bien, sa conduite est très maitrisée et ici c’est très appréciable, il aime rigoler et se faire prendre en photo aussi.  Je pense qu’à terme son objectif sera d’être guide, c’est l’évolution  des chauffeurs dés qu’ils maîtrisent suffisamment l’anglais. Pour l’instant, c’est limité, devant chaque temple il  dit, c’est vieux c’est très vieux… ou se renseigne, dans votre livre ils disent quelle date ? … le tout en anglais, mais mal mâchouillé.
En bon guide il nous arrête sur la route quand il estime qu’il y a quelque chose à voir d’intéressant . Ce matin alors qu’on finit notre nuit dans la voiture il fait un stop devant une maison, case, cahute. 



A  ma grande surprise, il demande si on peut la visiter .  Bonjour aux 3 dames dehors et nous voici presque accroupis pour entrer par la porte basse et ... surprise, télé allumée dans la maison !
 Je suis scotchée, si je m’attendais à cela !


Sur le coté les nattes bien roulées qui serviront de matelas la nuit, oui les indiens dorment sur du dur, super dur. Le vélo bien rangé contre un mur. Et mamie qui prépare ces galettes de bouses de vache pour le foyer .

Kuttan m’explique alors que dans cette région du Tamil Nadu, l’état donne des sous , une TV, un vélo, le gaz et électricité, eau potable au village et une prime de 12 000 roupies pour la grossesse.
Avec une politique de deux enfants, pas plus.
Kuttan souligne qu’au Kerala sa région ils n’ont rien de tout cela .
Certes c’est un avantage et pourtant je ne vois pas où est la vie de rêve ici.

Plus loin sur la route, un autre stop improvisé pour assister à la moisson du riz.


Moissonneuse batteuse , comme chez nous, tracteur comme chez nous mais avec une touche déco en plus . 


Et si besoin, travail artisanal, réservé aux femmes.
La maison du proprietaire, belle maison, déjà rare ici, mais avec voiture et moto devant ….
Faut dire que Tanjore a toujours été le rice bawl du sud, donc à l’abri du besoin.

La route est étroite et fréquentée .
On s’est fait une peur ou deux face à des prises de risques évidents des voitures ou bus venant de face ..Kuttan, reste stoïque .

Nous arrivons enfin dans la région du  Chettinad, escale de deux nuits à Karaikudi , nous logerons au Chettinadu Mansion.  
Enfin si Kuttan ne le loupe pas. Quand nous sommes arrivés dans rue, il a fait déplacer une voiture garée devant le portail, a ouvert le portail, a arrêté la voiture devant l’entrée principale, nous a ouvert les portes et est allé à la rencontre du personnel de l’hôtel … qu’il n’a pas trouvé … et pour cause , nous étions chez les voisins de l’hôtel … 

J’avais bien émis un doute, mais vous savez ce que c’est si on écoute les femmes …


Notre « mansion » est très belle maison du XIX ème  transformée en hôtel, d'un charme désuet, accueil charmant du personnel et .... eau chaude pour la douche .


Restaurant, et notre chambre avec accés terrasse et salle d'eau .
Etage aux colonnes en acier venues d'Angleterre

Cette région a une histoire toute particulière, nous en reparlerons demain. 

lundi 6 février 2017

Bye bye Pondicherry

Nous laissons Pondichery et sa belle promenade  de bord de mer, promenade d'autant plus sympa qu'elle est fermée à la circulation. Le départ est fixé à 8h00, ce qui pour ceux qui nous connaissent bien est contraire à nos habitudes. Mais notre chauffeur est intraitable, 4 temples à voir et 200 km de route, ce qui est considérable en Inde. 
Je vous avais déjà parlé de la conduite des indiens mais c'était en ville et ce n'était dangereux que pour les piétons. Sur la route, cela prend une toute autre dimension. Croyez vous qu'un indien au volant ne va pas dépasser un autre véhicule parce que vous arrivez en face sur une route étroite et sans accotements stabilisés ? que nenni, il y va et il klaxonne et fait des appels de phares en plus. Les cars, les camions ne sont pas en reste. Heureusement Kuttan, notre chauffeur maitrise la situation avec beaucoup de calme et de prudence.
Bon revenons à notre étape. premier arrêt, le temple de Shiva Nataraja temple à Chidambaran (non, aujourd'hui je ne vous épargnerai aucun nom indien). C'est un temple privé appartenant à des brahmanes, très grand et tout en couleur, un peu bollywoodien. On voit beaucoup de brahmanes, des grands, des gros, des minces, des efféminés, tous très affairés vers des missions qui nous échappent. Le bon peuple des croyants lui, fait des dons pour avoir une onction, une petite graine dans la main ... 


Temple dédié à Shiva, début de construction 1150


J'oubliais les chaussures. Bien sûr on doit pénétrer dans les temples pieds nus. Comme en Birmanie, Nadine avait préparé un petit sac monop pour ranger nos chaussures au lieu de les laisser en errance à la porte du temple . Ici, c'est pas possible et nous avons dû laisser notre sac à l'entrée, dés fois qu'il nous viendrait à idée de les remettre à intérieur.

Le deuxième arrêt est le Sri Pragadheswarar à Gangaikondacholapuram. A l'écart des circuits touristiques, ce grand temple est très beau avec des sculptures très fines et loin de tout mercantilisme, c'est un havre de paix.  Nadine a voulu aller voir à l'intérieur l'énorme lingam de 4 mètres de long mais le regard du brahmane de service nous a fait reculer. De façon générale, ils ont ou semblent avoir un regard un peu halluciné, voir inquiétant.

Dédié à Shiva, datant du 11ème siècle


Après un arrêt déjeuner dans un restaurant au calme et faisant d'excellente spaghetti bolonaises, nous visitons le Darassuram temple à Kumbakonam, temple de taille plus modeste mais non moins intéressant.
Dédié à Shiva, édifié entre le 11ème et 12ème siècle


En sortant, petit détour dans un atelier de tissage de coton, c'était du déjà vu et Nadine n'a rien acheté.
Une heure de route plus tard, nous arrivons à notre destination, Thanjavur (ou Tanjore). Sur l'insistance de notre chauffeur, nous visitons un atelier de bronze, technique intéressante mais pas de coup de coeur. 

Avant d'aller à notre hôtel, nous allons voir notre dernier temple au coucher du soleil le Brihadishvara Temple. Magnifique tant au point de vue du temple que de l'ambiance bonne enfant qui y règne. Et puis on a pu garder notre sac à chaussures. La couleur ocre de la pierre sous le soleil couchant était de toute beauté. Plein de collégiens et collégiennes dans leur bel uniforme. Une petite voix m'aborde "uncle, uncle photo" me dit une jeune collégienne avec sa copine. J'ai cru que c'était pour les prendre en photos toutes les deux, mais non, c'était pour que sa copine me prenne en photo avec elle. D'habitude c'est à Nadine que cela arrive.

Dédié à Shiva, construit de 1003 à 1010


Nous gagnons ensuite notre hôtel pour un repos bien mérité.

dimanche 5 février 2017

Une journée de filles à Pondicherry


Vous n’aurez pas de détail  sur la journée de jeudi, car Claude qui en était en charge a souffert une petite tourista, qui l’a mis HS. Et depuis nous avons des problèmes de connexion, misère, misère....

Ce jour là nous avons visité le Shore temple et Les Five Rathas. Allez pour le fun, je vous montre une photo de Krishna butter ball, la motte de beurre de Krishna à Mamallapuram, c’est comme cela qu’ils ont nommé cet énorme rocher parce que Krishna aimait piquer du beurre en douce à sa mère quand il était enfant, le coquinou.


Les indiens  apprécient s’y prendre en photo où y faire la sieste profitant de son l'ombre.


Vendredi,  pendant que l’homme se reposait à l’hôtel, je suis allée rejoindre une copine de l’association MVMC de Bayonne. En fait, dans le groupe il y a deux grandes fans de Pondicherry, malheureusement une seule était présente. Pondicherry ce sera journée de filles !
J’ai profité de notre fidèle chauffeur pour aller la chercher au Volontariat, association crée dans les années 60, pour aider les plus démunis, les castes les plus basses. Depuis elle a pris de l’ampleur, avec un atelier de teinture et tissage pour les lépreux, ateliers de couture, de broderie, mais aussi une maison de retraite …sans oublier l’objectif premier, d’aide aux enfants.
J’étais heureuse de voir l’atelier tissage, du beau travail, des couleurs qui donnent des envies.



Puis direction Auroville, c’est assez étonnant pour y faire un détour. Certains pensent que c’est une secte, d’autres vous diront le contraire. Si vous voulez vous faire une idée passer par ici ou lire ce très bon article de Psychologie magazine 

Certes j'ai eu des échos négatifs, mais ce que je peux dire de ma courte expérience, c’est qu’à la boutique je suis tombée sur quelqu’un de pas sympathique du tout, plutôt hautain ....dommage de laisser une mauvaise impression dés l’accueil.

Matrimandir, lieu de méditation mais faut réserver 3 jours à l’avance, sinon rester dehors.

Ensuite nous sommes revenues dans les rues animées de Pondicherry  pour une séance shopping filles.
J'ai ensuite récupéré mon malade pour faire un tour de la ville à pied avec un guide de Shanti travel.
En voici un petit écho . 

Un petit air de France 

Un petit air de Louisiane

Le marché aux fleurs, les hommes fabriquent, les femmes vendent

Un mariage en grande pompe





Et pour finir la bénédiction de notre chauffeur Kuttan et de Claude, par l'Eléphant au temple de Manakula Vinayagar



jeudi 2 février 2017

Une histoire d'eaux

Vous ai-je dis que j’ai eu un coup de foudre pour la beauté de l’aéroport de Mumbay (ancien Bombay ) ?
 On n’avait pas pu le remarquer à l’arrivée .  Même à 5h du matin, j’ai été emerveillée. Je n’ai pas pu faire beaucoup de photo, because aeroport, interdit , mais une ou deux vite-fait.
Je viens de regarder sur wikipedia, et ne trouve pas le nom de l’architecte. C’est un scandale ! Je lance un avis de recherche, je cherche le nom de ce créateur de génie, qui a fait une construction aussi technique, et Belle.  

Les piliers descendent au sous-sol avec à leur pied un bassin, de l'eau et des poissons rouges 


Donc question : qui est l’architecte de l’aéroport de Bombay  de son vrai nom , attention prenez votre souffle (vous commencez à prendre l’habitude, non  ?)
Chhatrapati Shivaji International Airport en l'honneur de l'empereur marathe Chhatrapati Shivaji (règne 1630 - 1680) ? Qui ?
Peut-être qu’un architecte, (" finlandais " ?) pourrait nous trouver cela …

Bon voilà, ceci étant dit, vous l’aurez compris c’est coup de coeur même aux aurores, avec un kleenex devant le nez et les yeux rouges .

Je dois aussi vous confier mon sentiment sur le départ de l’hôtel de Bombay, qui était je le redis super bien placé, mais à part cela, bruyant, en travaux , frigo en panne et une baignoire en grés à faire peur. 


D’abord elle ressemble à un cercueil, vous ne trouvez pas ? en plus, imaginez ce grès mouillé c’est une patinoire, tu prends la douche, tu veux en sortir tu glisses, clack le coup du lapin, hop à la tour du silence, clap clap les oiseaux arrivent, y a plus qu’à rincer et hop tu remets la baignoire à sa place, d’où … travaux à l’hôtel .Moi je vous le dis cette douche je ne la regretterai pas .

I survived 2016 (yes !), c’est pas pour me tuer dans une salle de bains, no way !

Mais revenons au voyage, l’aéroport qui  en plus d’être beau, a une bonne eau puisquelle ne m’a pas rendu malade .
Nous y avons pris un thé, puis avion arrivée à Chennai. Le plus difficile a été de récuperer les bagages puisque certains passagers (ceux qui ont fait prendre du retard à l’embarquement d’ailleurs) faisaient visiblement un trafic de cartons, une bonne trentaine , tous de la même taille, mais je n’ai jamais réussi à savoir de quoi. J’ai essayé mais pas écrit en français ni indien d’ailleurs. Bon ils étaient nombreux à vouloir les récupérer, ils nous ont encerclés, on a dû se déplacer .
A la sortie nous devions retrouver notre chauffeur, mais surprise il y en avait 30 aussi avec des écriteaux, mais le temps de lire chaque nom … heureusement un d’eux est sorti de la foule avec de grands signes et grand sourire, le tricheur,  lui il avait vu nos photos !
Kunttan, nous a de suite paru très sympathique, souriant , avenant mais avec accent. 
Moi j’avoue j’ai du mal à le comprendre, au tour de Claude de traduire, depuis qu’ils ont parlé voiture ensemble, il comprend tout ce qu’il dit.

On a directement pris la route pour Kanchipuram, une des 7 villes saintes de l’Inde,  comme Benarés. C’est aussi une ville spécialisée dans le tissage de la soie, ils travaillent en coopérative, on y fait les plus beaux saris, jusqu’à des prix …. Expliquant le travail d’un mois .
Moi évidemment des villes comme cela je pourrai y camper, entre voir les ateliers de tissage et fouiner dans les boutiques de tissu …. Mais, on n’a pas le temps.
J'ai quand même j’ai pu fouiller un peu dans les placards de la boutique pendant que Claude patientait gentiment en parlant voiture et motos avec le chauffeur … D’où ses progrés d’interpretes. J’ai fait quelques trouvailles.

Ensuite visite du temple  de Kailashanatha, avec un petit monsieur tout sympathique qui nous montrait les recoins du temple où les peintures  sont encore apparentes.



Puis direction, Mahbalipuram, si vous avez des difficulté à le dire vous pouvez aussi dire Mamallapuram.  Nous y passerons une nuit, avec diner buffet en self service , idéal . une chambre surclassée et baignade matinale, pour le plaisir de goûter à l’eau du golfe de Bengale. Parait que des surfers commencent à y venir, ce matin les vagues n’était pas au rendez-vous, je ne crois pas que cela soit un très bon spot, un jour sans Vague sur la plage d’Hendaye .


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